Edward Jones s’associe à Leger Research pour comprendre l’incidence financière de la COVID-19 sur les Canadiens

Communiqués | Mai 2020

Mai 2020 – Edward Jones s’est associé à Leger Research pour mieux comprendre les répercussions financières de la pandémie mondiale sur les Canadiens. Le sondage a révélé que, même si la plupart des Canadiens ont subi les contrecoups de la COVID-19, les facteurs qui les touchent varient en fonction de leur âge ou de leur étape de vie. 

Par exemple, ce sont les Canadiens âgés qui ont connu la plus grande incidence sur leur épargne-retraite, mais ils sont aussi les mieux préparés financièrement et les plus optimistes pour surmonter la tempête. Toutefois, comme les Canadiens âgés approchent de la retraite, la pandémie pourrait avoir des effets sur leurs régimes de retraite.

L’incidence a été plus immédiate pour les jeunes Canadiens. Ils sont moins susceptibles d’avoir prévu une épargne d’urgence, mais plus susceptibles d’avoir subi une réduction de salaire ou une mise à pied et pourraient avoir plus de difficulté que d’autres à payer leurs factures, leur prêt hypothécaire ou leur loyer. Les jeunes Canadiens ont moins confiance en leur capacité à surmonter la tempête, mais la majorité d’entre eux demeurent optimistes, car ils n’ont pas encore atteint leurs années de salaire optimal.

L’épargne d’urgence a été l’un des principaux facteurs de différenciation parmi les Canadiens. Ceux qui disposent d’une épargne d’urgence sont plus susceptibles d’être optimistes à l’égard de leur situation financière actuelle et future, tandis que ceux qui n’en ont pas ont plus de chances d’avoir du mal à joindre les deux bouts.

Vous trouverez ci-dessous un résumé complet des conclusions. 

La pandémie a eu une incidence sur l’épargne-retraite de la majorité des Canadiens

  • La COVID-19 a eu une incidence sur l’épargne-retraite de plus de la moitié (53 %) des Canadiens. L’épargne-retraite a souffert à la fois de la volatilité des marchés et d’autres facteurs (comme les mises à pied ou les réductions salariales), qui ont forcé les Canadiens à puiser dans leur épargne. 
  • Les Canadiens approchant de la retraite (55 ans et plus) étaient les plus susceptibles de mentionner que la pandémie avait eu des répercussions sur leur épargne-retraite (55 %).
  • Les jeunes Canadiens ont aussi été touchés, 46 % des 18 à 34 ans ayant répondu que leur épargne-retraite avait subi des effets négatifs.

Près de la moitié des Canadiens ont vu leur salaire diminuer

  • De nombreux Canadiens ont vu leur situation d’emploi changer; le salaire a diminué pour 42 % d’entre eux.
  • Les jeunes Canadiens ont été les plus touchés, 56 % des personnes âgées de 18 à 34 ans ayant indiqué que leur salaire avait été réduit. Cela pourrait avoir des répercussions sur leur capacité à répondre à leurs besoins de base, car les jeunes Canadiens sont aussi les plus susceptibles de mentionner qu’ils ont de la difficulté à payer leurs factures, leur prêt hypothécaire ou leur loyer (31 % et 30 % respectivement).

Près de la moitié des Canadiens s’inquiètent de ne pas pouvoir subvenir à leurs besoins de base

  • 41 % des Canadiens sont préoccupés par leur capacité à subvenir à leurs besoins de base et à ceux de leur famille (par exemple, payer l’épicerie ou acheter d’autres produits).
  • Les répondants dont la retraite a été touchée par la pandémie étaient les plus susceptibles d’être préoccupés par leur capacité à subvenir aux besoins de base de leur famille (50 %).
  • 64 % des personnes préoccupées par leur capacité à subvenir aux besoins fondamentaux de leur famille ont demandé la Prestation canadienne d’urgence.
  • Les répondants âgés de 45 à 54 ans étaient les plus susceptibles d’être inquiets (51 %), suivis de ceux âgés de 18 à 34 ans (49 %) puis de ceux âgés de 35 à 44 ans (47 %).
  • Les Canadiens âgés étaient plus susceptibles de disposer d’une épargne d’urgence et donc moins susceptibles d’être préoccupés par leur capacité à subvenir à leurs besoins ou à ceux de leur famille. Seulement 29 % des répondants âgés de 55 ans et plus ont répondu qu’ils étaient inquiets.

Une majorité écrasante de Canadiens prêts à affronter la tempête, malgré les revers

  • Même si de nombreux Canadiens s’inquiètent de leur capacité à subvenir à leurs besoins de base ou à ceux de leur famille, une majorité écrasante (72 %) a indiqué qu’elle était financièrement préparée à affronter la tempête à court terme.
  • Les personnes âgées de 18 à 34 ans étaient les plus susceptibles de ne pas être préparées (37 %). Cette situation pourrait être attribuable au manque d’épargne d’urgence et aux réductions salariales.
  • Les personnes approchant de l’âge de la retraite ou à l’âge de la retraite étaient les plus susceptibles d’être préparées, car 85 % des répondants de 55 ans et plus ont indiqué qu’ils l’étaient à court terme.

La plupart des Canadiens se sont préparés financièrement grâce à une épargne d’urgence

  • Bien qu’une majorité de Canadiens disposent d’une épargne d’urgence, le tiers (33 %) n’en ont pas pour les soutenir pendant la pandémie.
  • Les personnes âgées de 18 à 34 ans, celles âgées de 35 à 44 ans et celles âgées de 45 à 54 ans étaient les plus susceptibles de ne pas avoir d’épargne d’urgence (38 %, respectivement).
  • 22 % des répondants qui n’ont pas d’épargne d’urgence ont indiqué qu’ils auront besoin de fonds supplémentaires pendant la pandémie.
  • 47 % de ceux qui n’ont pas d’épargne d’urgence s’inquiètent de leur capacité à subvenir à leurs besoins de base, et 67 % ne sont pas préparés financièrement à affronter la tempête.

Les professionnels de la finance jouissent d’une confiance élevée durant la pandémie

  • Même si seulement 37 % des Canadiens ont répondu qu’ils s’étaient associés à un conseiller financier, 86 % de ceux qui en ont un ont confiance en ses conseils pendant la pandémie.

À propos d’Edward Jones

Edward Jones est une société de courtage de plein exercice qui compte plus de 850 représentants en services financiers dans les collectivités canadiennes d’un océan à l’autre. Membre de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières et du Fonds canadien de protection des épargnants, Edward Jones est également membre de la Bourse de Toronto. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le site edwardjones.ca.

Informations importantes :

Edward Jones s’est classé au premier rang des sociétés courtage de plein exercice évaluées dans le cadre des études de 2013 à 2020 de J.D. Power auprès des investisseurs à l’égard des sociétés de courtage de plein exercice au Canada (J.D. Power Canadian Full Service Investor Satisfaction Studies). jdpower.com/awards.